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L'histoire du Château Palmer débute en 1814 lors de la vente de la propriété viticole au Lieutenant-Colonel Charles Palmer par Marie Brunet de Ferrière, veuve de Gascq. Avec son mode de pensée avant-gardiste, il investira dans le domaine afin de l'agrandir et le moderniser. Après sa mort, le Château pris son nom en gardant son style et sa finesse. Il est racheté en 1853 par Emile et Isaac, deux frères de la famille Pereire qui contribueront au développement du Château et réussiront à l'inscrire dans le classement des grands crus de 1855. Le Château Palmer sera ensuite la propriété de plusieurs dynasties avec la famille Mahler-Besse, puis la famille Sichel. En 2004, Thomas Duroux arrive à la direction du Château Palmer.
Le domaine du Château Palmer possède un vignoble d'une superficie de 66 hectares en appellation Margaux. Les vignes évoluent sur le plateau des Brauzes, terrasse de graves au sommet des croupes de graves guntziennes. Grâce à leurs couches successives, le drainage se fait naturellement et la chaleur emmagasinée est également restituée. L'encépagement au sein du domaine est composé de Cabernet Sauvignon et de Merlot plantés à part égale, rejoint par du Petit Verdot.
Les vendanges sont manuelles, et le tri des baies est réalisé scrupuleusement à la main puis vient ensuite l'étape de l'éraflage, du tri optique. Les fruits de bonne qualité rejoindront ensuite le cuvon puis la cuve dans laquelle ils passeront deux à quatre semaines de cuvaison. C'est ici un travail intra-parcellaire rigoureux.
Le Cabernet Sauvignon offre de la puissance et de la richesse, le Merlot confère générosité et souplesse, et le Petit verdot apportera des notes épicées.
Château Palmer a toujours occupé une place à part, immédiatement reconnaissable à son étiquette bleu nuit mais aussi à son bouquet de fruits, de fleurs, d’épices laissant place en bouche à une texture ronde, puissante et délicate à la fois Après les vendanges et la vinification, ce premier vin est vieilli en fûts puis en foudres, durant 20 à 22 mois dans des barriques de chêne neuves et usagées. Elles sont ensuite assemblées en cuves avant la mise pour les homogénéiser.
Le grand vin du Château Palmer s'accordera parfaitement avec du Gibier, de la viande blanche et rouge grillée, ainsi que du fromage à pâte dure.
La propriété propose un second vin : l'Alter Ego de Palmer. Plus accessible dans sa jeunesse que le premier vin qui méritera quelques années en cave, il offre une autre expression du terroir du Château Palmer et possède le grain de tanin de son aîné. C'est un vin élégant et généreux dévoilant une belle intensité avec de la souplesse et du fruit. Son assemblage final est constitué d'une forte proportion de Merlot, puis il est complété par du Cabernet Sauvignon et du Petit Verdot.
Le Château Palmer, désireux d'entreprendre de nouvelles innovations, a décidé d'installer un cuvier expérimental pour améliorer et trouver sa quintessence. Au sein de ce cuvier, un laboratoire et 9 micro-cuves réalisent de nombreux essais et sont témoin de plusieurs recherches. L'une d'elles à permis de réduire l'utilisation du soufre de moitié lors des vinifications par l'élaboration de pieds de cuve en propre.
Vous pouvez retrouver à la Vinothèque de Bordeaux les différents vins du Château Palmer, le premier grand vin ainsi que son second vin Alter Ego de Palmer. Vous pouvez ainsi commander différents millésimes : allant du millésime 2004 à la vente en primeurs. Les vins du domaine sont disponibles à partir de 75,00€.
Au cœur des marais de Cantenac, plusieurs espèces animales ont été introduites afin de développer la biodiversité et pratiquer une culture biodynamique. En 2014, la propriété a décidé d'introduire des vaches, qui rejoignent des brebis déjà présentes. Le choix se porte sur la race des vaches bordelaises, avec l’aide du Conservatoire des races d’aquitaine, qui avait préservé la race de l’extinction vers les années 1970.
Pour s'occuper d'eux, Emilie, ouvrière spécialisée en polyculture et élevage et Teddy, sont présents quotidiennement. L'objectif de cette introduction ? Créer du fumier et de la bouse pour le compost et les préparations biodynamiques. Cette dernière permet aussi d'apporter des micro organismes et de stimuler les sols. Plus globalement, elle permet aussi de créer un fertilisant maison unique grâce au mélange entre le fumier et les sarments de vignes broyés et les rafles de vendanges qui sera répandu sur les parcelles à replanter. Une préparation est aussi élaborée au sein d’une corne de vache qui sera enterrée puis mélanger à l’eau pour être pulvérisé sur les vignes une fois par an. Aujourd'hui, en plus des vaches, la propriété possède des veaux, des brebis, des cochons, des chèvres, des poules, des oies et des chiens. Les 25 vaches et les 10 veaux occupent 28 hectares. Palmer est désormais autonome en compost et a également une vocation alimentaire mais pour l’atteindre, il faudrait le double d’hectares disponible. A terme, la propriété souhaiterait ajouter des volailles et des chevaux. Cet élevage a toujours lieu dans la voie du respect de l’animal et de son intégrité.
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